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Face au silence, les Nations unies et la France font appel à l’internationalisation du meurtre des manifestants
Les manifestations se poursuivent à Nassiria malgré le couvre-feu des autorités de sécurité et qui a causé la mort de plus de 40 manifestants durant les deux derniers jours dans la ville.
Quelques aides-santé ont informé notre organisation de l’existence des éléments civile des autorités qui ont participé aux manifestations après l’incendie du consulat iranien en Irak ce qui a conduit au meurtre de plus de 20 manifestants.
Ces meurtres croissants ont interpellé beaucoup d’institutions internationales. Les Nations unies ont déclaré, dans un rapport officiel que ces meurtres ne peuvent pas passer sans y parler.
La France souligne « nous condamnons fortement l’utilisation excessive et non appropriée du pouvoir contre les manifestants ».
Le Haut-commissariat aux droits de l'homme semi-officiel en Irak a déclaré dans son rapport samedi qu’il faut présenter ses criminels à la justice et qu’elle rassemble les preuves nécessaires pour les juger de leurs actes violents.
Le Conseil judiciaire suprême a appelé, samedi, les blessés ainsi que leurs familles et familles des morts d’enregistrer leurs déclarations contre ces faits en soulignant qu’ils seront punis selon le droit.
Notre organisation appel les autorités et parties internationales, le gouvernement et les gouvernements internationaux de respecter les droits humanitaires et défendre les manifestants civils qui ne demandent que leurs droits.