BAMRO

Le directeur BAMRO , a déclaré lors de sa participation en ligne à un symposium sur les droits de l’homme à l’occasion de la Journée internationale des victimes de disparitions forcées : « Les autorités irakiennes ne sont pas disposées à demander des comptes aux personnes impliquées dans les crimes de disparition forcée », soulignant la complicité évidente entre les gouvernements successifs et les milices qui commettent ces crimes.

a évoqué le rôle des organisations internationales de défense des droits de l’homme dans la découverte de la pratique des disparitions forcées en Irak et les défis auxquels elles sont confrontées dans leur travail. Il a également décrit les différents types et formes de disparitions forcées qui ont été documentés et leur récurrence au cours des deux dernières décennies.

En outre, il a commenté le travail du Comité des Nations Unies sur les disparitions forcées, soulignant le manque de bonne foi des autorités dans leurs réponses aux cas soumis – une question également soulevée par le Comité des Nations Unies lui-même.