2 décembre Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage

2 décembre Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage

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2 décembre – Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage

39e anniversaire

BAMRO : Unis contre l’esclavage moderne, la traite humaine et la migration irrégulière

Le 2 décembre de chaque année, le monde commémore l’une des journées les plus importantes en matière de droits humains : la Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage, adoptée officiellement par les Nations Unies en 1986 pour lutter contre les nouvelles formes d’esclavage qui, malgré les progrès humains, menacent encore des millions de personnes.

En 2025, nous célébrons le 39e anniversaire de cette journée, rappelant que l’esclavage n’a pas totalement disparu ; il a simplement pris de nouvelles formes, dissimulées derrière la pauvreté, la vulnérabilité, les conflits et les routes migratoires dangereuses.

L’esclavage moderne… des crimes sous de nouveaux visages

Malgré l’abolition de l’esclavage historique, des pratiques contemporaines d’exploitation persistent :

1️⃣ La traite des êtres humains

La forme la plus dangereuse d’esclavage moderne, exploitant femmes, enfants et hommes dans le travail forcé, la mendicité, la prostitution ou les mariages forcés.

2️⃣ L’exploitation sexuelle

Une violation grave de la dignité humaine, touchant principalement les femmes et les filles.

3️⃣ Le travail des enfants

Des millions d’enfants sont soumis à des conditions de travail difficiles, privés de protection et d’éducation.

4️⃣ L’esclavage domestique

Où de nombreuses travailleuses domestiques sont contraintes à des horaires excessifs sans droits ni protection.


La migration irrégulière… une exploitation de la souffrance humaine

La migration irrégulière est devenue un outil utilisé par les réseaux de traite:

  • Les passeurs exploitent la pauvreté et le désespoir

  • Ils envoient les migrants vers des risques mortels en mer

  • Les femmes et les filles subissent des abus sexuels

  • Certains migrants sont forcés au travail pour payer leur dette

La migration irrégulière représente une forme déguisée d’esclavage, où l’être humain devient une marchandise entre les mains de criminels.


La nécessité de mettre fin à toutes les formes de migration irrégulière

BAMRO affirme que la lutte contre la migration irrégulière est une responsabilité à la fois sécuritaire et humanitaire :

  • Fermeture des routes dangereuses

  • Lutte contre les réseaux de traite à l’international

  • Renforcement de la coopération mondiale

  • Traitement des causes profondes : pauvreté, conflits, instabilité

  • Création de voies de migration légales et sécurisées

Mettre fin à la migration irrégulière, c’est protéger les migrants, non les exclure.


Message de BAMRO

Avec son statut consultatif auprès de l’ECOSOC,
BAMRO – Organisation belge internationale pour les droits humains et le développement
réaffirme son engagement à lutter contre toutes les formes d’exploitation par :

  • La sensibilisation

  • Le soutien des victimes

  • Le suivi des violations et la dénonciation des réseaux

  • Le plaidoyer pour des lois plus strictes

  • Les campagnes de sensibilisation locales et internationales


39 ans… et la lutte continue

Cette commémoration mondiale rappelle que :

Women are still sold... etc. (This is French — skip repetition; I will rewrite)

Des femmes sont encore exploitées, des enfants abusés, des migrants poussés vers la mort, et des familles endeuillées par des tragédies invisibles.

BAMRO affirme que la dignité humaine reste au cœur de sa mission : chaque personne mérite une vie libre, sûre et sans exploitation.


Conclusion

À l’occasion de cette journée, BAMRO appelle à :

  • Mettre fin à toutes les formes d’esclavage moderne

  • Combattre la traite humaine

  • Stopper la migration irrégulière pour protéger les vies

  • Renforcer les valeurs de justice, liberté et dignité

Car tout être humain naît libre… et la souffrance ne doit jamais devenir une marchandise.